Le réalisateur porte un regard nouveau sur le défilé du 1er mai. La façon d'observer et décrire la foule rappelle pour s'y opposer le traitement de la foule par le cinéma d'avant garde soviétique des années 20 et particulièrement celui d'Eisenstein.
Le film se termine par un chant religieux : Le sacrifice du soir.
Commentaires et bibliographie
Ce film dédié à Elem Klimov, qui a réalisé le film Sport, sport, sport « a été tourné en trois heures. Né dans un grand moment d'excitation, il a été conçu au départ comme un reportage sur la célébration du 1er mai et a acquis seulement après une dimension artistique. » Alexandre Sokourov