Un homme pauvre, cherchant à épouser une femme riche devient voleur de chevaux. Surpris dans l'écurie d'un kolhoze, il renonce à voler et finit par épouser la fille d'un forgeron.
Commentaires et bibliographie
Dans La Dot de Joujouna, on assiste à une étonnante fusion d'actions héroïques et aventureuses et de situations divertissantes, passionnantes par leur intensité et leur comique. Sorti après Les Derniers croisés de Siko Dolidze, La Dot de Joujouna confirme l'entrée du cinéma géorgien dans le monde de l'art soviétique. Vetchernaïa Moskva, 28 août 1934. Cité par Gels et dégels, une autre histoire du cinéma soviétique (1926-1968)