"Je dois raconter". Ces mots sont devenus la devise et le sens de la vie de Macha Rolnikaité (1927 - 2016) qui a passé sa jeunesse à vivre les cauchemars du ghetto et des camps de la mort. Son livre-journal qu'elle a écrit pendant son emprisonnement au risque de sa vie, a été par la suite édité et traduit en 17 langues.