Il est vraiment un petit garnement, ce Koja que personne n'arrive à
apprivoiser. Sa mère, des voisins et même la direction de son école ne
savent plus comment aborder ce garçon. Le directeur de l'école lui dit
que malheureusement il ne ressemble pas à son père mort à la guerre.
Koja fait des promesses qu'il oublie aussitôt, la porte du cabinet du directeur
fermée…
« Quand on tourne avec les enfants, cela doit ressembler à un jeu, pour
que le tournage ne leur pèse pas. Tous les enfants sont par nature
acteurs et affabulateurs. Simplement ce penchant s'exprime chez eux de
manière plus ou moins évidente » Abdulla Karsakbaiev
Source Festival de Vesoul, 2012