Cast : Aidos SAGATOV, Ainur SAPARGALI, J. ASSAOUOV Sound : Olivier DANDRE, D. VIEILLARD
Production :
Kazakhfilm, Kadam, PBFilms
Distribution en France : Accatone Distribution, 20 rue Cujas 75 005 khentchel@noos.fr
Synopsis
Chouga est belle, riche et aimée. Elle a trente ans et vit à Astana, la nouvelle
capitale du Kazakhstan. Son mari est un scientifique célèbre,
d'une soixantaine d'années. Elle a un fils de sept ans. Son frère et son
épouse vivent à Almaty. Leur couple se déchire et, à la demande de son
frère, Chouga les rejoint pour tenter de les réconcilier. Elle rencontre
alors Ablaï, un jeune homme riche et oisif pour lequel elle éprouve une
vive attirance. De retour à Astana, Chouga tente de résister à cette
attraction sensuelle dont elle pressent l'issue dramatique.
Chouga est librement adapté du roman de Léon Tolstoï Anna
Karenine.
Ce film, peut-être l'un des plus beaux de Darejan Omirbaev, parvient
avec brio à raconter à travers un récit de la littérature classique les
déchirements du Kazakhstan contemporain. Les capitales du pays, l'ancienne
et la nouvelle, en sont des personnages à part entière. Les héros
du film, pris dans les filets de leurs destins, ne font qu'obéir à ce que
leur environnement semble exiger d'eux.
Source : Festival International du Cinéma Asiatique, 2012
Chouga is a relationship drama inspired by Tolstoy’s Anna Karenina, set in contemporary Kazakhstan. It offers its audience not only a look into everyday life of the Kazakh nouveau riche, but also a view of the streets of the new and fast-developing capital, Astana.
Shuga (an excellent Aïnur Turganbaeva) has been asked to come to Almata as a troubleshooter for her brother's marriage in crisis. She herself is safely married to a rich businessman with whom she has a son. Her arrival at Almaty though means an unexpected meeting with the young and handsome Ablai. This meeting leads to an unexpected turn in her life. Meanwhile, the life of Ablai's fiancée follows its own path. When the troubles of Shuga's brother settle down and Shuga returns home in Astana, she finds herself caught in an existential dilemma. She decides to leave her husband as Anna Karenina did, and later finds herself in similar doubts. Life becomes complicated on all fronts.
The atmosphere throughout the film succeeds in joining the ideas of the classic novel in the changed society of Kazakhstan. The New Kazakh Way master Omirbaev continues to make films with his minimalist film language, where every small movement bears a meaning and each simple shot is rich with atmosphere. (LC)
Source : www.filmfestivalrotterdam.com