L'action se passe au Liban. Après la guerre la jeune libanaise Ida échappe à sa mère alcoolique et quitte son petit village pour aller dans une grande ville. Là, elle commence à fréquenter un européen, sans même se douter de ce qui l'attend.
"La Colère" est le premier film de fiction de Marie Ivanova Surae.
Directeur Maria Ivanova Z. produit divers projets au Liban depuis plusieurs années. Pas étonnant que la productrice et réalisatrice ait décidé de tourner son premier
long-métrage « The Anger » dans ce pays incroyablement beau où plus de 18 confessions coexistent pacifiquement. Le film libano-allemand avant même sa sortie
suscite l'intérêt du public car il traite des problèmes les plus actuels de notre temps.
« Mon film n'est pas seulement une histoire sur l'amour global d'une femme pour un homme. Il s'agit d'un conflit entre deux cultures, deux religions, la tentative d'une
personne de s'emparer d'une autre, de les dominer. Naturellement, même en écrivant le scénario, j'ai pris la décision de tourner le film au Liban - le pays que j'aime
vraiment où, à mon avis, on voit le plus clairement la fusion de différentes cultures et mentalités », a déclaré la réalisatrice Maria Ivanova Z.
Il y avait beaucoup de lieux de tir au Liban. Le réalisateur a prêté une attention particulière à leur choix. D'un côté, un lieu de tournage aurait dû être aussi naturel que
possible. Par ailleurs, le réalisateur a souhaité mettre en avant les bons points clés du film à l'aide des lieux de tournage entre autres. Trouver un appartement où vivait
le personnage principal du film a pris la plupart du temps. Finalement, l'équipe a trouvé un vrai village qui, il y a quelques années, a été sous le feu lors du conflit
militaire au Liban. Et même la maison où le personnage principal a emménagé porte les traces de balles.
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