Le héros du film, Andrei Kouraev, est un professeur de théologie et un missionnaire, dont l'une des tâches est de réduire le niveau de peur des gens les uns envers les autres. Cependant, le film ne parle pas d'Andrei Kuraev, ou plutôt, pas tellement de lui. Il commence avec Andrei Kouraev tenant son petit-fils, qui a peur du noir, sur ses genoux. Le protodiacre invite le garçon à entrer dans l'obscurité, armé d'une lampe de poche, et à n'avoir peur de rien. Cette métaphore résume le reste du film, car les 40 prochaines minutes seront consacrées à l'intrépidité et à la liberté.