Андрей ИСКАНОВ
Andreï ISKANOV
Andrey ISKANOV
Россия / США, 2008, 249мин 
игровой
Философия ножа
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Filosofiya nozha

 

 Philosophy of a Knife

 Philosophie d'un couteau

 
Режиссёр(ы) : Андрей ИСКАНОВ (Andrey ISKANOV)
Сценарист(ы) : Андрей ИСКАНОВ (Andrey ISKANOV)
 
В ролях
 
 
Язык anglais, russe

Аннотация
Аннотации на русском языке нет.
 

The true history of Japanese Unit 731, from its beginnings in the 1930s to its demise in 1945, and the subsequent trials in Khabarovsk, USSR, of many of the Japanese doctors from Unit 731. The facts are told, and previously unknown evidence is revealed by an eyewitness to these events, former doctor and military translator, Anatoly Protasov. Part documentary and part feature, the story is shown from the perspective of a young Japanese nurse who witnessed many of horrors, and a young Japanese officer who is torn between his sincere convictions that he is serving the greater purpose, and the deep sympathy he feels for an imprisoned Russian girl. His life is a living hell as he's compelled to carry out atrocious experiments on the other prisoners, using them as guinea pigs in this shocking tale of mankind's barbarity. "Philosophy of a Knife" is truly one of the most violent, brutal and harrowing movies ever made.
Source : anonymous, www.imdb.com

Entre 1932 et 1945, le Japon impérial mit en place une "unité de recherche" en Mandchourie récemment conquise par ses troupes, dans le but de créer des armes chimiques et bactériologiques. Cette unité prit le nom devenu "fameux" de Camp 731 et fut dirigée par un scientifique tout autant compétent que dévoué à la propagande extrémiste de son gouvernement, Ishii Shiro (nommément cité dans le film).
Ce camp ne fut en fait qu’une gigantesque boucherie organisée de manière toute scientifique et militaire s’étendant sur des milliers de mètres carrés, plus d’une centaine de bâtiments et " employant" au plus fort de son activité des milliers de personnes.
D’après les sources, on estime à environ 3 000 le nombre de morts dans cette unité et ce de manière ignoble, succombant à diverses tortures qui n’ont rien à envier dans l’horreur aux expériences des médecins nazis dans les camps de la mort européens.
Prisonnier chinois, mais aussi coréens et russes seront traités comme de vulgaires rats de laboratoire afin de tester la résistance humaine au froid, au chaud, aux maladies, à la dépressurisation, et à la douleur en général.
Andrey Iskanov va donc s’échiner sur plus de quatre heures à nous faire "partager" et à nous disséquer par le menu l’enfer vécu dans ce sinistre lieu.
Source : www.horreur.com