Assel a tout pour être heureuse, carrière brillante, argent, appartement au centre de Moscou et une grande facilité de séduction des hommes. Mais un homme, Ivan, résiste à son charme. Bien qu'il soit étrange, et encore sous l'influence de sa mère, Assel ne veut pas abandonner...
Cendrillon, son prince charmant et le cheval blanc – encore une éternelle version du conte de Perrault? Eh bien non, L’Ironie de l’amour, c’est presque cela, mais juste à l’envers.
Assel a tout pour elle: beauté kazakhe sur le point d’épouser un oligarque du pétrole, elle est connue du beau monde moscovite et fait régulièrement la une de la presse à sensations. Vania, lui, est un gentil binoclard maladroit et peu attirant qui vit toujours chez sa maman et gagne son argent de poche en travaillant comme masseur de l’équipe nationale de natation synchronisée du Kazakhstan. Rien ne semble pouvoir rapprocher ces deux personnes, mais pourtant, un pari bien lancé va forcer le destin et les faire se rencontrer …c’est que l’amour a son avis particulier sur la question, et celui-ci est bien ironique...
Un film à grand public aux allures de remake de la comédie romantique américaine, dont les références viennent aussi bien des Oiseaux de Hitchcock que de Mary à tout prix. Et pourtant, l’équipe russo-kazakhe du film réussit à réunir habilement les coloris orientaux du Kazakhstan des acteurs et paysages avec l’humour traditionnel russe incarné par l’acteur principal Alekseï Tchadov, connu pour ses rôles dans des comédies romantiques.
Source : www.cinema-russe-paris.com